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Recherche par lecteur : Pliquet Gérard

67 résultats. Page 4 sur 4.

Lu par : Gérard Pliquet
Durée : 2h. 59min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 24554
Résumé:Depuis 1903, le Tour de France cycliste déroule ses fastes. Spectacle entièrement gratuit, il rassemble sur les routes qu'il emprunte 20 millions de spectateurs. 190 pays retransmettent désormais ses images télévisées. Le Tour, c'est une fantastique histoire humaine avec ses joies, ses drames, ses moments de galère intense, ses grands moments d'émotion. C'est aussi mille et une histoires. Les plus belles victoires, les plus beaux exploits. Et enfin toutes ces petites histoires peu connues où interviennent des personnages inattendus : le Vatican qui soutient l'italien Bartali, le général De Gaulle qui, bien involontairement, provoque la victoire d'étape d'un coureur, la Méditerranée dans laquelle plonge le peloton pour lutter contre la canicule au grand dam des organisateurs. Disputé par des hommes en pleine force de l'âge, adeptes de la plaisanterie et conteurs émérites de leurs propres aventures, le Tour est une source inépuisable d'histoires. Jean-Paul Brouchon, 44 Tours à son actif, a beaucoup écouté et retenu. Il restitue dans cet ouvrage ce que la mémoire peut oublier.
Lu par : Gérard Pliquet
Durée : 2h. 29min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 24522
Résumé:À l'automne 1973, un jeune et brillant écrivain obtient le prix Médicis. Trente-cinq ans plus tard, c'est son corps qui sera retrouvé par les gendarmes. Entre ces deux moments, que s'est-il passé ?
Lu par : Gérard Pliquet
Durée : 7h. 6min.
Genre littéraire : Roman d'amour
Numéro du livre : 24291
Résumé:C'est en 1956, à Cambridge, que Sylvia Plath fait la connaissance du jeune Ted Hughes, poète prometteur, homme d'une force et d'une séduction puissantes. Très vite, les deux écrivains entament une vie conjugale où vont se mêler création, passion, voyages, enfantements. Mais l'ardente Sylvia semble peu à peu reprise par sa part nocturne, alors que le "braconnier " Ted dévore la vie et apprivoise le monde sauvage qu'il affectionne et porte en lui. Bientôt ses amours avec la poétesse Assia Wevill vont sonner le glas d'un des couples les plus séduisants de la littérature et, aux yeux de bien des commentateurs, l'histoire s'achève avec le suicide de l'infortunée Sylvia. Attentive à la rémanence des faits et des comportements, Claude Pujade-Renaud porte sur ce triangle amoureux un tout autre regard. Réinventant les voix multiples des témoins - parents et amis, médecins, proches ou simples voisins -, elle nous invite à traverser les apparences, à découvrir les déchirements si mimétiques des deux jeunes femmes, à déchiffrer la fascination réciproque et morbide qu'elles entretiennent, partageant à Londres ou à Court Green la tumultueuse existence du poète. L'ombre portée des oeuvres, mais aussi les séquelles de leur propre histoire familiale - deuils, exils, Holocauste, dont elles portent les stigmates -, donnent aux destins en miroir des "femmes du braconnier" un relief aux strates nombreuses, dont Claude Pujade-Renaud excelle à lire et révéler la géologie intime.
Lu par : Gérard Pliquet
Durée : 3h. 54min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 22910
Résumé:La sémillante Corinne Roche nous propose une drolatique aventure en forme de roman initiatique qui nous conduira de Brest à Tel-Aviv... ou comment un jeune futur prof d'anglais de 25 ans, Benjamin Poullaouec, va accomplir son éducation spirituelle et politique en Israël en s'inventant rien de moins qu'un grand-père juif... Les jeunes Bretons souffriraient-ils d'une crise identitaire ? Assurément non, mais celui-là, oui. Et voilà donc Benjamin Poullaouec en train de troquer son histoire familiale et son identité bretonne contre un retour au pays fantasmatique et un changement de nom en bonne et due forme : exit Benjamin Poullaouen, désormais, son nom sera... Benny Polak ! Logique, non ? Un livre aussi pétillant que réussi, qui fait rire en même temps qu'il pointe les problèmes centraux du Moyen-Orient, signé par une audacieuse habitante de l'île d'Oléron.
Lu par : Gérard Pliquet
Durée : 6h. 5min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 22652
Résumé:Avec une très grande probité historique dans la fiction, le roman de Claude Pujade-Renaud fait revivre un lieu mythique de foi et de résistance au pouvoir temporel : Port-Royal-des Champs. Janvier 1712. Alors qu'il chasse avec un ami dans les environs de Chevreuse, le médecin Claude Dodart est témoin d'un macabre spectacle. Sous escorte armée, des hommes de peine éventrent le cimetière de l'abbaye de Port-Royal-des Champs, entassent débris, charognes et ossements sur des charrettes qui prennent le chemin de la fosse commune de Saint-Lambert. Le roi Louis XIV (et l'opiniâtre ennemie de Port-Royal, Mme de Maintenon), ont donc permis que soit pourchassé jusque dans la mort un ordre injustement accusé de jansénisme. Claude Dodart relate ce sinistre épisode à Françoise de Joncoux. Surnommée "l'invisible", elle est au centre de ces quelques amis de Port-Royal qui tentent de maintenir un lien épistolaire et spirituel entre les moniales dispersées ou exilées, de porter secours aux prisonniers et embastillés — prêtres ou laïcs qui, comme les plus célèbres Solitaires de Port-Royal (Blaise Pascal, Isaac Le Maistre de Sacy) ont adopté un mode de vie à l'écart du Siècle, opposant l'inviolabilité des consciences au pouvoir ecclésiastique et au dogme de l'infaillibilité papale, et se vouant à l'éducation, la traduction, l'écriture. Cette œuvre-là, Françoise de Joncoux s'emploie à la déchiffrer, recopier, préserver. Par delà cent ans de persécutions, elle ravive la flamme tenace de la transmission. Parmi ses proches : Claude Dodart dont le père lui-même fut médecin de l'abbaye. Et Marie-Catherine Racine, ancienne postulante, que son père força à quitter Port-Royal. Mais pourquoi Jean Racine, élevé par les Solitaires, devenu dramaturge puis homme de Cour et historiographe du roi, se fit-il inhumer à Port Royal ? Et que contient le fameux manuscrit qu'il aurait consacré, dit-on, à l'histoire de l'abbaye ? Toutes ces contradictions la hantent.
Lu par : Gérard Pliquet
Durée : 8h. 36min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 23535
Résumé:Qu'est-ce que l'exil ? Julian Sargats s'était bien promis de ne jamais quitter Cuba, ni surtout La Havane que sa grand-mère lui avait appris à aimer mais il a à peine treize ans, en 1959, quand il doit s'en aller à Miami. Son père, un émigré espagnol parti de rien qui a fait fortune à Cuba, décide de mettre ses biens à l'abri du régime castriste. Sa mère a choisi une autre forme d'exil, l'alcool. Julian tente de s'intégrer à la société américaine, il parvient même à se faire accepter par le cercle très fermé des vieilles familles bostoniennes mais c'est finalement à Miami qu'il revient s'établir dans cette petite société d'émigrés cubains partagés entre une indéfectible nostalgie et un militantisme virulent. Julian, lui, cultive plutôt une sorte de scepticisme désabusé qui l'amènera à se séparer de la femme qu'il aime, Emma, une pasionaria anti-castriste sans jamais parvenir à l'oublier. Écrite dans une langue superbe (l'auteur, né à Cuba, écrit directement en français), cette méditation sur l'exil, peuplée de personnages attachants, a obtenu le prix Interallié en 1996.
Lu par : Gérard Pliquet
Durée : 5h. 20min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 22958
Résumé:La vie est paisible au Village Fondamental. Les hommes chassent et les femmes travaillent aux champs. La belle Chamboula, à la démarche élastique, provoque de grandes élévations. Un jour arrive un réfrigérateur, et très vite on en vient à se battre pour être le premier à s'y rafraîchir. Une télévision arrive ensuite qui rivalise avec l'arbre à palabres. Le village plonge dans la mélancolie et la faim. On ne se parle plus. SAV ("service après-vente") débarque et ne tarde pas à lorgner sur Chamboula, et à gratter le sol et le sous-sol. Il embauche Boulot, mais Boulot décide d'aller tenter sa chance de l'autre côté de la forêt, et s'éloigne encore, et voyage. Va-t-il se faire coincer à la douane française? Entrera-t-il dans Paris par le métro Château-d'Eau ou par la rue d'Ulm? S'inscrira-t-il à Sciences-Po? Jouera-t-il à l'aile droite de l'ASSE? Dès lors le récit prolifère, se ramifie, en une fable jubilatoire. Et la dimension politique du roman se double d'un travail poétique et formel qui inscrit Chamboula, récit à la construction arborescente, dans la tradition ludique de la littérature oulipienne.